Oriane Bajard installe des structures souvent d’inspiration organique qui métamorphosent l’espace investi. Elle crée des passerelles entre le corps humain et un corps universel. Par ce biais, elle interroge notre rapport aux temporalités et à notre environnement.
Des objets non identifiés faisant écho à des corolles, akènes de pissenlit prêtes à s’élever, fleurs sans cœur, invitent le randonneur à venir immerger sa tête à l’intérieur de cette corolle. Cet «acteur» se trouve isolé, le regard porté vers le ciel, avec une perspective vertigineuse vers la cime des grands arbres. Un paysage que l’on oublie d’observer, les yeux plutôt dirigés vers le sol lors de nos marches. On se questionne devant cette mise en scène surprenante, sur la position du randonneur, à la fois comme faisant partie de cet écosystème tout en étant observateur de cette nature qui le submerge.
3 structures en suspension / Diamètre : 3 m x Hauteur : 1,80 m
Bois, cercles en acier, peinture bleu outremer
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